samedi 2 avril 2016

Des solutions au paradoxe de Fermi, comme s’il en pleuvait !


 Si l’on en croit la chronique, le grand physicien italien Enrico Fermi aurait fortement embarrassé, voire laissé sans voix, ses collègues atomistes déjeunant à la cantine du Centre d’études nucléaires de Los Alamos, en 1950, quand, au sujet des extraterrestres, il leur avait demandé : si, comme vous le dites, ils sont partout ces ET, pourquoi ne sont-ils pas là ? « Là », sur Terre, ayant établi un contact ou une colonie ? Qu’un tel propos de table* ait pu traverser l’espace et le temps, c’est ça déjà qui est paradoxal.

Enrico Fermi (1901-1954).
 Cinquante ans plus tard, en effet, le paradoxe de Fermi continue d’interpeller au point qu’on a entendu, lors de l’effervescence médiatique provoquée par la divulgation, au printemps dernier, des dossiers ovnis du CNES, des gens s’en gargariser ; comme, par exemple, le directeur de la rédaction de Ciel & Espace, à C dans l’Air, sur la chaîne TV 5 le 30 mars dernier. Parler du paradoxe de Fermi dans une émission sur les ovnis n’est rien moins que d’aborder le problème à contre sens !

Car nous allons voir que précisément, dans le contexte ovni, ce paradoxe n’en est plus un. Que la fine fleur de l’astronomie française l’évoque dans une telle émission témoigne d’une grande ignorance ou d’un total mépris de la question ovni.

Par ailleurs, si vraiment les collègues de Fermi sont restés cois devant sa demande visant la présence d’éventuels ET, cela montre que ces messieurs étaient certainement très calés en physique nucléaire mais manquaient singulièrement d’imagination ! Des dizaines de solutions ont, en effet, été proposées à ce paradoxe ; dont 50 dans le livre de S. Webb (1) : abordons-en quelques-unes ici.

Les solutions se rangent en trois catégories fondées chacune sur une hypothèse : 1/ les ET sont bien là, n’en déplaise à l’illustre prix Nobel, découvreur des neutrons lents. 2/ les ET existent mais ne communiquent pas ! 3/ les ET n’existent pas.

La catégorie 1/ décline 8 possibilités : « ils » sont là et a/ se cachent dans certaines catégories de la population ( !) ; b/ se mêlent de nos affaires ; c/ ont été là mais ne le sont plus aujourd’hui (c’est la thèse des anciens astronautes) ; d/ ce sont nous les ET ! e/ le scénario du zoo (voir mon intervention en ces pages en mars 2006) ; f/ le scénario de l’interdiction ; g/ l’hypothèse du planétarium ; h/ Dieu existe.

Parlons de l’option b/ : c’est celle des ufologues vieille formule, comme moi. L’un d’eux (certainement pas si vieux que ça), sur Internet, agacé par cette paradoxomania subite récente, l’a résumée fort simplement : Pour moi le paradoxe de Fermi n’en est pas un. Où sont les extraterrestres ? Eh bien ils sont à l’intérieur des ovnis qui se promènent dans notre ciel. Où est le problème ?

Effectivement, ça se tient dans la mesure où la terminologie ovni s’adresse à ce qu’on appelait dans le temps les soucoupes volantes pour désigner quelque chose de plus tangible et plus structuré qu’une lumière passante ou un flash fulgurant. En vérité, le fait de voir un objet non identifié sur le coup ne signifie pas qu’il ne devienne un ovi (objet volant identifié) une fois inventoriées les possibilités de confusion. Or, il paraît que le pourcentage des ovnis non identifiés demeure le même (15 %) quelque soit le nombre d’observations que l’on prend et qui fluctue selon les années. Cette constatation irait à l’encontre de la thèse des vaisseaux spatiaux venus d’ailleurs pilotés par les ET et indiquerait que le pourcentage résiduel est essentiellement dû au hasard ?

Ne resteraient donc que les traces d’ovnis pour accréditer cette solution antiparadoxe : ce sont les rencontres rapprochées, voire les enlèvements (abductions), les crashes d’engins volants, les ronds dans les champs (crop circles ou cercles de culture) et les mutilations animales. S. Webb affirme que nous n’avons pas besoin des soucoupes volantes pour expliquer ces phénomènes.

D’où sa conclusion : L’hypothèse soucoupe volante peut être l’explication la plus populaire du paradoxe de Fermi, mais sûrement, il y en a des meilleures.

Voyons donc celles-ci. Et tout spécialement, examinons les solutions (6) capables d’expliquer l’absence de Grands Frères ou de Maîtres Supérieurs existant ailleurs mais pas parvenus sur notre planète en ce début de 21ème siècle, n’en déplaise aux nombreux contactés et autres kidnappés de l’espace dont, je le répète, le paradoxe de Fermi est une pure négation du côté physique de leur expérience.

J. D. Bernal (1901-1971).
Qu’est-ce qui peut empêcher les ET omniprésents dans l’espace de venir jusqu’à nous ? Une première éventualité est qu’ils sont trop loin et ne sauraient franchir les distances colossales qui nous séparent. En bref, le voyage interstellaire serait impraticable faute de moyens adéquats pour le permettre ; effectivement, si ces ET en sont encore aux fusées comme vaisseaux spatiaux ou aux sondes interplanétaires, il est difficile d’envisager un voyage qui mettrait autant de temps ; notre sonde Voyager 1 lancée en 1977 est, certes, en route mais il lui faudra 10 000 ans pour atteindre Proxima du Centaure, la plus proche des étoiles sœurs du Soleil. Heureusement qu’il n’y a personne dedans parce que plus de 300 générations de spationautes seraient ainsi vouées à l’ennui et à la mort. Ceux qui arriveraient ne se souviendraient même pas pourquoi leurs ancêtres sont partis ! Et une arche spatiale sous congélation, imaginée en 1929 par le physicien britannique, J. D. Bernal, et ayant fait l’objet du film Alien en 1979, personnalise plutôt un cauchemar qu’une expédition de villégiature. Quant aux modes de propulsion plus rapides (moteurs à fusion nucléaire, à antimatière, voile solaire en constante accélération sous la pression de la lumière, trous de ver, warp drive, etc.), ils sont encore pour nous au stade des spéculations et pour longtemps.

Un corollaire à cette alternative à la non présence des ET sur Terre est qu’ils pourraient être en cours de voyage mais n’ont pas encore eu le temps d’arriver ! La vitesse de colonisation de l’espace serait même beaucoup plus lente que la vitesse du vaisseau la permettant. Rome ne s’est pas construite en un jour, aimait à dire C. Sagan (1934-1996) alors qu’on peut traverser la capitale italienne à pied en quelques heures. Selon les spécialistes d’une colonisation galactique par diffusion, celle-ci demanderait en fait plusieurs millions d’années ! A-t-elle commencé justement d’un point très éloigné de la Voie Lactée ? Il faudra attendre pour le savoir.

Une autre solution au Paradoxe de Fermi est la théorie de la percolation ; d’après elle, le voyage interstellaire serait possible mais risqué si bien que tous les partants ne seraient pas sûrs d’arriver à bon port et ceci par un phénomène qu’on peut schématiser par un filet dont les mailles sont plus ou moins resserrées. Plusieurs arrivages d’ET auraient été bloqués dans leur approche en tentant de passer là où c’est impossible. D’autres retenteraient-ils l’aventure ?

Ronald Bracewell (1921-2007).
Ensuite vient la thèse de la colonisation par des engins non habités : par des robots, des automatons, capables de se réparer eux-mêmes, voire de se remplacer. Cette hypothèse plaisait à R. Bracewell et à J. von Neumann, un autre chercheur de Los Alamos au Nouveau Mexique. Ces sondes pourraient être toutes petites et de la sorte peu chères mais on n’en a décelé (et cherché ?) aucune depuis la Terre, à moins qu’elles se mêlent aux essaims d’étoiles filantes des Perséides et des Léonides et ainsi périssent dans ces mini-embrasements que nous regardons comme un spectacle céleste.
John von Neumann(1903-1957).

Une autre possibilité est ce qu’appelle S. Webb notre chauvinisme solaire en ce sens que les ET auraient tant d’autres endroits à explorer plus intéressants que le nôtre que nous serions de la sorte les laissés-pour-compte et risquerions d’y rester encore longtemps. Notre soleil n’a, en effet, rien de particulier et peut-être ont-ils autre chose à faire de plus intelligent que de poser un pied sur chaque planète pour y ramasser des roches et faire quelques gambades ?

Enfin, ces ET pourraient être ni des voyageurs, ni des nomades, mais des sédentaires apathiques même pas attirés par le tourisme spatial. Pas si bête après tout. Malgré cela, on a du mal à imaginer une espèce de créatures intelligentes, certes paresseuses à rester chez soi, mais manquant totalement de curiosité pour savoir si elle est seule dans l’univers. Les hypothèses pour expliquer cet autisme primaire éventuel des ET sont plus difficiles à appréhender que leur absence physique tant les communications coûtent moins cher que les voyages à l’échelle d’une galaxie. Pourquoi alors les ET sont-ils silencieux ?

S. Webb, dans ses 50 solutions au paradoxe de Fermi, en consacre 15 à tenter de justifier ce silence assourdissant ; impossible de toutes les exposer ici. Elles se groupent autour de quatre concepts : i/ il y a bien (eu) des signaux qui nous sont parvenus mais nous n’avons pas su les reconnaître ; j/ nous ne les avons pas reçus faute de moyens et modes d’écoute adéquats ; k/ l’Univers peut être plus étrange qu’on le pense interdisant ainsi ces lointains contacts ; enfin, l/ les ET sont trop différents pour se mettre en communication avec nous ; ils auraient pu développer des mathématiques inconnues au point que nous ne saurions réaliser que leurs transmissions sont artificielles.

Dans l’hypothèse i/, il faut voir avec quel anthropomorphisme les tenants du SETI (Recherche des intelligences extraterrestres) ont décidé de faire leur tri parmi les émissions qui nous parviennent du ciel ! Leurs critères d’artificialité sont calqués sur ce que nous ferions en pareil cas. Au point qu’on se demande même pourquoi on n’attend pas tout simplement que les signaux reçus se superposent à ceux que nous avons envoyés (voir l’affaire Klee TV). Comme si les extraterrestres ne pouvaient être que la copie conforme de la créature n°1 du Cosmos = l’Homme !

Un exemple typique est celui du signal reçu le 15 août 1977 par la Grande Oreille de l’Université de l’Ohio et qui a suscité cette annotation du technicien de garde : Wow ! Sa durée (37 secondes) et sa non répétition ont amené à le ranger dans les annales de curiosité du SETI, sa signification étant ainsi définitivement occultée. De grands experts l’ont attribué à un signal provenant d’un de nos satellites.

Seules les ondes électromagnétiques ont été retenues comme support de ce signal sans envisager qu’il puisse être véhiculé par les ondes gravitationnelles ou par des particules telles que neutrinos ou tachyons, ces derniers ayant l’avantage de se déplacer plus vite que la lumière. La fréquence de l’eau choisie (entre 1,42 et 1,64 gigahertz) est aussi une fenêtre bien étroite pour une question qui a tant d’importance ; elle table sur l’idée que, sans eau, il n’y a pas de vie mais on sait que l’ammoniac pourrait constituer un excellent solvant vital. Après plus de 30 ans, on commence à se demander si notre stratégie d’écoute est bien la bonne !

En j/, les moyens mis en œuvre pour écouter les ET sont dérisoires. Les radiotélescopes ne sont utilisés que marginalement pour le SETI. Le gouvernement US s’en est désengagé avec cette formule édifiante qu’il est inutile de financer une recherche qui s’apparente à celle de l’existence du Père Noël (sic) ! De même pour les moyens consacrés à l’émission de tels messages qui a d’ailleurs soulevé la polémique car potentiellement dangereuse quant au retour à l’envoyeur (gare si une civilisation stérilisatrice de planètes la capte !). Certains prônent le silence selon l’adage « pour vivre heureux, vivons caché ». Frank Drake (1930->), pionnier du SETI, envoya en 1974 en trois minutes un message de seulement 1679 bits de long (une demi-page de cette revue) et en 1999 on expédia un message de 400 000 bits plusieurs fois mais il contenait une erreur typographique ! C’est tout. Si des ET ont capté nos messages, ils ont eu la chance avec eux.

Sommes-nous trop impatients ? Les ET plus sages ont l’éternité devant eux tandis que notre civilisation voit ses jours comptés : pollution de la planète, risque de conflagration, etc.

Dans la catégorie k/, S. Webb s’interroge si l’Univers physique est bien celui que nous croyons ? L’évolution se fait-elle dans un état non physique style réalité virtuelle ? Y a-t-il un horizon qui nous échappe ? Il reconnaît que ces suggestions sont difficiles à prendre au sérieux comme solution au paradoxe de Fermi.

En l/, il envisage une guerre froide à l’échelle du Cosmos (comme quand Soviétiques et Américains ne se parlaient pas) ou bien, tout simplement, que les ET ne veulent pas communiquer : leur culture ne serait pas expansionniste ; effectivement là, ils sont si différents de nous qu’il vaut mieux qu’ils nous ignorent. Ou alors, sont-ils des superintelligences dont les motifs nous dépassent ? Ce fut la thèse de l’ufologue français Aimé Michel (1919-1992) à laquelle semble se ranger progressivement celui qui brigue de le remplacer aujourd’hui, le sociologue Pierre Lagrange.

Reste l’ultime alternative : les ET n’existent pas ! Nous serions une singularité !

C’est d’ailleurs par cette outrance que le physicien d’origine italienne voulait provoquer ses collègues de Los Alamos ouverts à l’idée de Fontenelle de la pluralité des mondes habités ; formulons-la en ces termes : si les extraterrestres ne débarquent pas sur Terre, c’est peut-être qu’ils n’existent pas ? En d’autres mots nous serions seuls dans l’Univers, du moins en tant qu’êtres pensants capables communiquer avec d’autres, voire de les visiter. Seuls donc, bien condamnés à n’avoir jamais le moindre contact avec des créatures étrangères à notre petite planète bleue.

C’est une alternative extrême maintes fois discutée ; examinons la dans les possibilités débattues par S. Webb (il en propose 18 !). Inutile d’y chercher quelques relents religieux, voire xénophobes, car l’auteur, physicien britannique, se place sur un plan purement scientifique. Ce qui ne l’empêche pas d’envisager l’idée que l’Univers puisse être là uniquement pour nous ; c’est ce qui est connu sous le nom de principe anthropique voulant voir les conditions du cosmos uniquement destinées à favoriser notre séjour sur Terre. Cette alternative confortable flatte l’ego de ceux qui aiment à voir dans l’Homme une espèce élue ; ne nous y attardons pas.
Moins narcissique, la thèse selon laquelle la vie pourrait avoir émergé seulement récemment ; ainsi les éventuels extraterrestres seraient si peu en avance sur nous qu’ils n’auraient pas encore eu le temps de voyager plus loin que leur propre banlieue (la Lune, pour nous). Au pire, nous serions les premiers !

Ensuite viennent les variations autour de la rareté des planètes telles que la Terre dans le cosmos. Aux dernières nouvelles, le compteur des exoplanètes découvertes (planètes hors système solaire) est arrêté sur le chiffre 263 mais, à une exception près, toutes sont du type Jupiter : grosses (318 fois la Terre), gazeuses avec un tout petit noyau rocheux enfouis sous une épaisse carapace d’hydrogène liquide : des conditions bien peu clémentes pour abriter une vie à base de carbone que seul S. Webb s’autorise à envisager. Or, si seulement de grosses planètes gazeuses ont été repérées, c’est parce que le mode de détection en l’état actuel est bien incapable (mesure de la baisse de luminosité quand la planète s’interpose entre l’étoile et nous) d’en localiser de plus petites et plus denses rocheuses. Systèmes solaires, zones habitables seraient aussi des conditions simultanées indispensables alors que rien n’en indique l’abondance. De même, la Terre aurait pu adopter récemment une orbite lui permettant de passer à travers les régiments d’astéroïdes à cause d’un phénomène de résonance qui lui évite des collisions catastrophiques, état normal d’une grande dangerosité naturelle cosmique. D’où notre sort plus enviable que celui des dinosaures ! Lune et plaques tectoniques seraient, qui sait ?, des conditions uniques. La vie pourrait être aussi quelque chose de miraculeux dont les ingrédients conditionnant l’apparition seraient extrêmement rares (pour créer une protéine (albumine) par hasard, il y a une chance sur 1 suivi de 584 zéros) ! Alors ne parlons pas de microbes ayant évolué jusqu’à se servir d’outils, capables d’intelligence, de langage et de progrès technologique !

L’auteur en termine par le constat qu’il est peut-être trop tôt pour nous interroger sur une question si pauvre en données, trop tributaire de la psychologie individuelle : optimiste (Drake : un million de races d’ET au moins égaux à nous) ou pessimiste « à la Jacques Monod » (nous sommes seuls).

Pour en terminer avec le Paradoxe de Fermi, je voudrais signaler que ce physicien, en 1950, en essayant de coller ses interlocuteurs de Los Alamos, ne faisait que soulever une question posée 30 ans plus tôt par un Américain, certes non détenteur d’un prix Nobel, mais qui, déjà, en avait donné SA solution.

Dans son ouvrage : Le Livre des Damnés paru en 1919, Charles Hoyt Fort se demandait sans ambages à propos des extraterrestres : - pourquoi ne se montrent-ils pas ouvertement à nous ? 

 
Charles Hoyt Fort (1874-1932)

Et de donner une réponse simple et immédiatement acceptable à un paradoxe non encore sanctifié par la Science : éduquerions-nous, civiliserions-nous, si nous le pouvions, des cochons, des oies et des vaches ? Serions-nous avisés d’établir des relations diplomatiques avec la poule qui fonctionne pour nous, satisfaite de son sens absolu de l’achèvement ?
Fort pensait que des visites subreptices avaient été rendues à notre planète, tout récemment encore, et qu’il en avait résulté une dispute entre les voyageurs ; à présent quelqu’un possède la Terre et en a éloigné tous les colons. Une solution avant l’heure à un paradoxe qui, de fait, perd beaucoup de son statut en raison de la foule de solutions qui lui ont été données.

Référence :

1/ Where is Everybody ?, par Stephen Webb, Copernicus, New York, 2002, qu’on aimerait voir traduit en français.










* Voilà que j’apprends dernièrement que Fermi n’aurait jamais tenu un tel propos !



Publié dans UFOMANIA Magazine n° 54 de janvier-mars 2008.

2 commentaires:

  1. Sommes-nous trop impatients ?
    Les ET plus sages ont l’éternité devant eux tandis que notre civilisation voit ses jours comptés : pollution de la planète, risque de conflagration, etc.
    Cher Michel,
    Leurs présence dans nos cieux en 1952-54 au-dessus de Washington, le fameux "carousel de Washington" était un pied de nez à l'administration américaine comme quoi ont vous observe depuis très longtemps.. vous êtes au berceau de la grande civilisation cosmique et vous avez découvert comment fabriqué et joué avec les allumettes.. entre-temps le contacté George Adamski rencontre un vénusien venu de Vénus avec un message d'espoirs à la grande famille humaine mais un avertissement aux leaders de la planète terre d'arrêter les explosions nucléaires.. malheureusement les enfants = nos politiciens scientifiques et militaires n'en font qu'à leur tête.. puis le 18 décembre 1960 le révérend contacté Frank E. Stranges fait la rencontre d'un vénusien nommé Valiant Thor dans un bureau du Pentagone. Valiant est devenu V.I.P pour une durée de 36 mois. Un film et un documentaire indépendant verra le jour par le réalisateur Craig Campobasso souhaitons-le. Stranger At The Pentagon inspiré du livre publié en 1967 par le révérend F.E.Stranges.

    Puis il y a eu la fameuse vague d'ovnis (sphères de lumières) des centaines parti de "l'Antarctique" jusqu'en territoire mexicain en 2004.
    2016 une bien drôle d'année..
    Rencontres des plus grands dignitaires et politiciens à Barichole en Argentine puis une visite en "Antarctique"

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    1. Merci pour votre commentaire, Metatron,
      Alors la rencontre de G. Adamski avec un Vénusien dans les années 1950 serait toujours d'actualité, du moins dans le message qui fut échangé entre eux.
      Et que pensez-vous de la mystérieuse empreinte de pied (voir http://articles.lescahiers.net/?z=i4992)? Cordialement.
      MG

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