"Le grand carnage" :
un mal qui
sévit encore aujourd’hui (1987)
Nouveau Mexique 1980.
Nouveau Mexique années 1970. |
S'agit-il d'une simple épidémie, laquelle pourrait
logiquement décimer rapidement un troupeau et gagner de proche en proche les
ranches voisins ? Eh bien non ! Une des caractéristiques de ce malheur est qu'il
peut frapper sans discernement et quasi simultanément à des milliers de
kilomètres de distance des animaux isolés. Par exemple, des Etats aussi
éloignés que le Colorado et l'Ohio furent durement sinistrés en 1980 sans que
les zones intermédiaires n'aient à déplorer pareille hécatombe.
Manuel Gomez. |
Gabe Valdez. |
Si ce n'est pas une maladie qui fait crever ces bovins et
ces chevaux, portent-ils alors les traces de sévices susceptibles d'avoir
entraîné leur mort subite ? Oui
et non. C'est là un
autre paradoxe du Grand Carnage.
En effet, comme
pour ajouter à l'horreur de la situation, les animaux sont retrouvés
cruellement tailladés; mais les blessures affreuses qu'ils portent ont été
souvent dites insuffisantes pour tuer la bête.
Ce sont de véritables
mutilations qui sont pratiquées sur
ces corps parfois découverts encore chauds. Il leur manque principalement des
organes essentiels tels que le sexe, l'anus et, plus curieusement encore, les
yeux, la langue les oreilles. Très souvent l'absence de la mamelle, découpée
soigneusement sur tout son pourtour, fait apparaître les chairs sous-jacentes
même pas égratignées Un travail de
sculpteur sur chair. Ou alors les trayons sont sectionnés au même niveau un
à un.
Mais c'est là
une liste générique bien courte pour décrire les brutalités dont sont
coutumiers les implacables mutilateurs.
Veau dépouillé de sa langue, des parties
génitales et de la moitié d’une oreille, le 22 novembre 1976, comté Franklin, à
l’Ouest de Campbell, Nebraska.
Mais il y a
plus abominable encore: quelques fois les victimes ont survécu à l'agression
mutilatrice. Par exemple, toujours au Colorado mais en juin 1979, comté El
Paso, une vache eut la région anale littéralement détachée sans que mort s'ensuive. Il fallut l'abattre pour abréger
ses souffrances, mais on pouvait voir
directement à l'intérieur du corps, se souvient avec effroi Kathy Geiger, belle-sœur
de la propriétaire.
En Utah, 1977,
un cheval fut mutilé de la pire façon au niveau des organes génitaux. Selon le
vétérinaire Craig White qui fit une autopsie, l'animal était très certainement vivant quand on avait pratiqué sur lui
cette chirurgie et il n'est mort qu'après.
Malgré ces exemples rares qui constituent
l'exception confirmant la règle et prouvant, en tout cas, la sauvagerie des mutilateurs, on s'accorde généralement
sur le fait que bovins et chevaux sont d'abord tués avant de subir les prélèvements.
Et tous les moyens sont bons pour arriver à cette fin.
Les mutilateurs, parfois, témoignèrent d'une
force brutale inouïe quand, à plusieurs reprises, des corps de bovins furent
trouvés comme tranchés en deux au
moyen d'un gigantesque couperet, notamment au Texas, en février 1984.
Kansas, 1975. |
Au Texas, en
1980, une génisse de 300 kilos était retrouvée dans le comté Deaf Smith, les entrailles
à l'air. La peau avait été coupée droit
sous les côtes suivant une incision parfaite . La chair était intacte mais le cœur
avait été sorti. La langue et une paupière étaient en outre manquantes.
Souvent
d'ailleurs, les organes internes trouvés disparus semblent avoir été extraits
par des trous perforés dans le corps trop petits pour une telle opération. Ce
fut le cas sur une génisse mutilée au Colorado, en 1975, où un vétérinaire
s'avoua incapable lui-même de retirer un cœur
de cette manière.
Le 4 janvier
1975, au Colorado encore (600 mutilations dénombrées depuis cette date), sur
une ferme de Eckley, une vache apparemment abattue à la carabine par une balle
paralysante était vidée de son sang et sa zone sexuelle excisée. C'est ainsi
que dans le comté Benton, en Arkansas en 1978-79, sur de nombreux animaux
mutilés, les analyses de laboratoire détectèrent la trace de drogues aptes à
endormir l'animal instantanément. Le scénario envisagé était donc d'immobiliser
à distance l'animal désigné à son horrible sort par les mutilateurs et d'intervenir
sur lui encore vivant mais inconscient.
Notons qu'aucun
mutilateur n'ayant jamais été pris
sur le fait, tout cela demeure de la pure spéculation.
Même remarque
pour les indices récoltés dans la région de Dulce, Nouveau Mexique, qui, entre
1976 et 1978 subit une véritable furie
mutilatoire. Ceux-ci donnèrent à penser que les bêtes étaient infectées à
distance, peut-être par des flèches empoisonnées au pouvoir immédiat, tant les
organes internes étaient trouvé rapidement décomposés. On parla même de
séquelles pouvant provenir d'irradiation massive aux micro-ondes.
En 1976, au
Wisconsin et au Montana, on émit l'hypothèse que les bovins, avant d'être
mutilés, étaient exterminés au moyen de grenades à gaz comme rapporté dans le Milwaukee Journal. Et on remarqua que
les vaches gravides prêtes à vêler étaient la cible favorite des mutilateurs.
Systématiquement, ces pauvres bêtes étaient retrouvées comme fendues au scalpel de la poitrine
jusqu'à la mamelle, tel un cas en 1975 au nord de Sulphur Spring au Texas sur
une vache trouvée décapitée et au Montana.
Soit le veau
n'était pas épargné dans l'opération et il apparaissait par l'ouverture (mai 78, vache mutilée dans l'Etat de Washington),
soit il avait réchappé du massacre en naissant prématurément, mais y ayant
parfois laissé la queue sectionnée net à la base, comme ce fut constaté au Nebraska,
en 1974.
L'oreille d'un
jeune bouvillon, détachée de la tête, fut trouvée sous le corps de
l'animal, dans le comté Mellette, au Dakota du Sud en 1981. C 'est un rocher de
200 kilos qui fut trouvé sur le ventre d'une vache dont le rectum et les
parties sexuelles avaient disparu, au Kentucky, en 1977.
Parmi les
blessures classiques, il y a aussi ces plaques de pelage soit tondues, soit
carrément arrachées et qui ont des formes géométriques circulaires ou en carré.
Mais on a vu pire. Ainsi, au Colorado, en octobre 1984, un jeune bœuf
abominablement mutilé fut découvert la
mâchoire à nu, la langue sectionnée une corne cassée et la peau arrachée et
enroulée sur le dos comme le dessus d'une boîte de sardines.
Mais les
ablations les plus prisées et les plus fréquentes sont celles des organes
sexuels male et femelle et de la partie rectale. Normalement les découpures
sont d'une précision dite chirurgicale
et les animaux sont laissés là, débarrassés de leurs organes avec un trou de la
largeur d'un tuyau de poêle à la place de l'anus, ainsi que ce fut observé au
Nouveau Mexique, en 1981, sur une génisse de 3 ans. Les génisses de cet âge sont
particulièrement visées.
Quant aux
éclaboussures de sang que devrait générer pareille boucherie, elles brillent
par leur absence, si j'ose dire. D'autant qu'à maintes reprises, il a été
vérifié médicalement que plus une goutte de sang ne restait dans le corps
comme, par exemple, sur une vache au Texas, en 1975. Et il n'y avait pas de sang non plus sur le sol, déclara quelqu'un
du bureau du shérif du coin.
Cette propreté des lieux autour de la victime
a été rapprochée de l'absence quasi totale de traces pouvant donner un indice
sur l'identité des mutilateurs. Tom
Adams, enquêteur indépendant, s'interroge: - Comment tant de crimes ont-ils pu être commis, en laissant si peu de
traces de l'action humaine ?
Ou alors, les
rares fois où elles sont présentes ces signatures
laissées auprès de la carcasse exsangue, elles sont si ostensibles qu'on s'est
demandé si elles n'étaient pas faites volontairement pour égarer les soupçons :
traces de bottes et de pneus au Kansas, en 1974, mais des pas s'arrêtant brusquement au beau milieu du champ comme si le mutilateur avait pris son envol...
Empreintes de palmures à 3 doigts, comme
celles de canard trois fois plus grandes que la normale en Alberta, Canada,
en 1976 ou empreintes de bottes à l'avant et au talon triangulaires si petites qu'elles auraient pu tenir dans la paume de la
main, si j'en crois le témoignage textuel de l'équarrisseur D. Lawson, du
Colorado.
C'est un
universitaire de l'Alberta qui avança l'hypothèse qu'ils usaient d'un moyen de vol dépassant la compréhension en parlant des mutilateurs.
Il est vrai que, si l'on suppose que les bêtes sont transportées inertes par la
voie des airs au-dessus des prairies, mutilées dans un repaire secret et retournées sur leur terrain d'origine,
cela résout le problème des traces inexistantes et des nombreux cas où, sur les
victimes, d'importantes-fractures osseuses ont été constatées, au Nouveau
Mexique notamment, en 1978. Des marques de courroie ou des coupures, dues,
semble-t-il, à un système de fixation aux pattes pour soulever l'animal la tête
en bas, furent aussi mentionnées.
Grâce à ces
quelques exemples bien réduits par rapport à ceux cités dans mon livre, paru
chez Vertiges/Carrère, je pense vous avoir montré qu'un recours à la thèse des
prédateurs pour expliquer de telles actions survenues par milliers relève de la
pure fantaisie. Et pourtant, c'est à cette conclusion qu'est arrivée une
enquête officielle menée en 1979-80 au Nouveau Mexique pour la bagatelle de 50
000 dollars.
Et quels sont
ces prédateurs superdoués (bioniques
selon Gabe Valdez) capables de séparer un veau en deux, de trancher net une
solide queue de cheval comme au Texas, en juin 1980, ou sur une vache en Oregon
en 1984 ? Ou de couper une langue de bovins loin dans la gorge et d'en réinsérer la pointe dans la gueule de
l'animal à l'envers ? Eh bien des coyotes, des renards, des chiens sauvages
et des écureuils. Sans compter quelques rapaces...
Or, justement,
une autre énigme touchant les animaux mutilés est qu'ils n'attirent pas les
prédateurs comme on pourrait s'y attendre. C'est ainsi qu'on vu, en 1982, un
cheval privé de ses glandes génitales et de son anus rester intouché pendant six semaines par les
coyotes et les pies qui infestent la région sur les terres d'un fermier de
Simla, au Colorado.
Alors qui d'autres sont-ils ces mutilateurs ?
Colorado 1986. |
Les cultes
sataniques ont été un temps
dans le collimateur : cultes secrets. sacrificateurs en manque
d'organes, buveurs de sang chaud ; mais malgré l'annonce d'inculpations
imminentes, jamais aucune mise en accusation n'a été prononcée.
Voleurs de
bétail, oui ? Mais spécialisés dans les bas morceaux. Et quel gaspillage de
viande !
Recherches
clandestines du gouvernement US ? Après le Watergate
et l'Irangate, pourquoi ras un Cattlegate ?
Tests sur des
armes chimiques, bactériologiques des armes laser, des gaz neurotoxiques ?
Savants fous couverts par l'armée de
l'Air ? N'a-t-on ras dénombré, entre 1971 et 1972, plus de 200 observations
d'hélicoptères silencieux et non immatriculés, volant de nuit au-dessus des
prairies à mutilation et semblant fréquenter les secteurs d'entrepôts d'armes,
silos à missiles et zones stratégiques du système de défense américain (NORAD
et SAC) ? En août 1976, ne trouva-t-on pas un animal mutilé au pied même du formidable
portail qui interdit l'entrée du centre NORAD, sur le mont Cheyenne, un des endroits
les mieux gardés des Etats-Unis où se situe l'état major de la défense aérienne
d'Amérique du Nord ?
Prospection de
minerais ou bio-géochimie par détection des éléments chimiques présents dans
les bovins qui paissent en des lieux où le sous-sol est riche en ressources
minières ? Conspiration terroriste internationale chargée de vaporiser un virus agissant sur la conscience à travers les USA ?
Puissance
étrangère, nazis, tout y est passé... pour un résultat nul.
Après 20 ans,
on n'a toujours aucune certitude et, devant toutes ces portes rationnelles qui
se ferment les unes après les autres, on doit entrouvrir celle l'Inconnu, de
l'Ailleurs... Les mutilateurs sont-ils
des frères de l'Espace qui, sous
couvert d'un miracle que nous ne
savons pas reconnaître, préparent une nouvelle religion ? Les mutilations
sont-elles un message lourd de
conséquences si nous ne savons pas le comprendre ? Ou au contraire,
surveillent-ils, grâce à cette étrange
Récolte le degré de pollution (ou de radioactivité) de notre planète ?
Font-ils du contrôle génétique sur nos bestiaux ? Expérimentations faites par
d'autres formes de vie dans une intention pas claire pour tout le monde ?
D'étranges
lumières dans le ciel et des marques au sol sur des sites à mutilations ont fait bouillonner les imaginations et
n'a-t--on pas un rapport du 28 septembre 1980, émanant du comté Jefferson au
Colorado, où ce qui semblait être un hélicoptère se métamorphosa en ovni à la grande
stupéfaction des témoins ?
L'enquêteur
David Perkins, après 10 ans de recherches sur le terrain, opte pour une cause extérieure à notre monde.
Quant à moi, je ne vois guère d'objection pour lui donner tort d'autant que les
amis que je me suis faits là-bas, autour de ce grand drame, sont acculés à
cette interprétation fantastique.
Il me reste à
vous prouver, comme annonce au début de ce texte, que le Grand Carnage n'est
pas terminé. Que les mutilateurs
n'ont pas cessé leur prospection vachère
insensée pour nous... mais pas pour eux.
Il nous faut
donc retourner sur place au moment où s'arrête mon livre, soit aux premiers
mois de 1985. J'avais noté que le Nouveau Mexique, épargné pour la première
fois en 1984 depuis 1975, avait renoué
avec le cauchemar.
En effet, le 29
mars, Tony Martinez découvrit la carcasse d'une vache Hereford dont le pis, l'anus et la partie génitale semblaient avoir été retirés avec la précision
nette d'un couteau. Et durant l'été, on dénombra dans le nord du même Etat
six mutilations suspectes.
Le Colorado ne
fit pas exception non plus, notamment dans le comté Elbert (200 cas en 1975),
fief du shérif Yarnell qui, en juillet, enquêta sur une génisse du troupeau du
ranch de Max Kelly dont la zone rectale avait été découpée selon un cercle parfait. Et en septembre, quatre
mutilations furent signalées coup sur coup dans la même région. Toutes présentaient
ce fini chirurgical si difficile à
attribuer aux prédateurs. On -parla encore de coupures laser. Et, en novembre, le
shérif du comté El Paso enquêta sur la mort d'une vache dont le ventre avait un
trou de 35 cm
de diamètre, réalisé avec quelque espèce
d'instrument tranchant. La nuit de l'accident, un hélicoptère avait survolé
le ranch. Selon le propriétaire, Eldon Butler, cette façon de faire vous laisse pantois quand vous vous apercevez que
même un boucher ne pourrait en faire autant. Le comté Weld fut touché le 7 octobre
avec un taureau débarrassé de pénis, anus et scrotum.
Au Texas, cela
démarra bille en tête dès janvier quand une vache fut découverte exsangue et
sans langue, queue et partie génitale, dans le comté Duval. Et à la mi-mars,
les restes de deux chevaux, dont les causes de la mort ne purent être
déterminées, même à l'autopsie, furent vilainement charcutés autour des yeux et
des parties sexuelles dans le comté Travis. On parla d'autres cas, mais sans
grands détails.
L'Etat de
Washington enregistra aussi des violences mutilatrices, principalement en fin
d'année dans le comté Thurston où un cheval Appaloosa fut égorge vidé de son
sang et coupé. Le Montana, déjà
touché en janvier, récidiva fin octobre, la veille de l'Halloween, avec un
cheval dont le peau de la face fut arrachée d'un côté et les organes sexuels
proprement prélevés avec une oreille et un œil en sus. Le Kansas signala une
vache gravide mutilée en février et le Dakota du Sud de même en mai.
En Alabama, en
avril 85, une jument fut trouvée délestée de sa zone génitale sur une ferme de
Gunterville et juste un an plus tard, un cas similaire était observé sur une prairie
voisine.
Enfin, le
Canada ne laissait filtrer qu'un seul cas au cours de 1985: une vache
découverte en un champ isolé du Manitoba, en octobre, vidée de son sang et la
langue et la mamelle tranchées.
Finalement, le
bilan 1985 n'était pas si maigre qu'on a bien voulu le dire : plus de 30
cas répertoriés malgré la black-out, le silence imposé aux forces de l'ordre,
le désintérêt des médias, la peur du ridicule des fermiers... A quelle
proportion d'incidents passés inaperçus une telle situation conduit-elle ?
Je n'ai pas en
ma possession tous les cas de mutilations survenus en 1986. En effet, les
observations me parviennent avec beaucoup de retard; néanmoins, outre l'Alabama
qui connut un nouveau cas en juillet 86 avec un jeune bœuf émasculé, l'Utah vit
une de ses vaches privée de son sexe en juillet, le Colorado, en février, un
taureau Limousin depouillé de ses testicules et le Nouveau Mexique fidèle à la
tradition, signaler une vache rutilée
avec précision en avril 86 ; et en juin, une autre victime bovine portant
des coupures qui n'avaient pas saigné pour détacher ses yeux, son anus et ses
organes sexuels. L'officier de police Chavez, dans son rapport, précisa une
fois de plus qu'il n'avait trouvé sur le corps aucun trou susceptible d'expliquer
la mort.
Je sais aussi
qu'il y a eu des cas au Dakota du Sud, en Washington et au Kentucky.
Ainsi donc, la
preuve est faite chaque jour que les mutilateurs
sont toujours à l'œuvre, opérant dans l'ombre leur sinistre besogne à l'insu
des autorités qui, une fois pour toutes, ont classé le problème, l'assimilant à une prédation naturelle,
compliquée d'une hallucination de masse de la part des fermiers. Et à l'insu
aussi de la grande majorité de la population nord américaine, notamment des
habitants des villes, qui, semble-t-il, n'ont même pas eu connaissance du
phénomène qui infestait les prairies dans les années 1975-80 et qui continue.
Il serait tout
de même singulier que mon livre, édité ici à plusieurs dizaines de milliers de
kilomètres du théâtre des hostilités, fasse découvrir la nation nord américaine
ce Grand Carnage qu'elle ignore,
n'ayant pas écouté les appels de ses éleveurs, ou ceux-ci n'ayant pas crié
assez fort...
Une telle
éventualité ne serait pas pour me déplaire et constituerait un beau témoignage de ma reconnaissance à
tous ceux qui, de là-bas, m'ont permis d'écrire cet ouvrage.
1/ Décédé en 2001.
Ecrit en
décembre 1986 et publié dans Le Monde de l’Inconnu
(mensuel disparu) n°80, février 1987.
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