Des solutions au paradoxe de Fermi, comme s’il en
pleuvait !
Si l’on en croit la chronique, le grand physicien italien
Enrico Fermi aurait fortement embarrassé, voire laissé sans voix, ses collègues
atomistes déjeunant à la cantine du Centre d’études nucléaires de Los Alamos, en
1950, quand, au sujet des extraterrestres, il leur avait demandé : si, comme vous le dites, ils sont partout
ces ET, pourquoi ne sont-ils pas là ? « Là », sur Terre,
ayant établi un contact ou une colonie ? Qu’un tel propos de table* ait pu
traverser l’espace et le temps, c’est ça déjà qui est paradoxal.
Enrico Fermi (1901-1954). |
Cinquante ans plus tard, en effet, le paradoxe de Fermi continue d’interpeller
au point qu’on a entendu, lors de l’effervescence médiatique provoquée par la
divulgation, au printemps dernier, des dossiers ovnis du CNES, des gens s’en gargariser ; comme, par exemple, le directeur
de la rédaction de Ciel & Espace, à C
dans l’Air, sur la chaîne TV 5 le 30 mars dernier. Parler du paradoxe de
Fermi dans une émission sur les ovnis n’est rien moins que d’aborder le
problème à contre sens !
Car nous allons voir que précisément, dans le contexte
ovni, ce paradoxe n’en est plus un. Que la fine fleur de l’astronomie française
l’évoque dans une telle émission témoigne d’une grande ignorance ou d’un total
mépris de la question ovni.
Par ailleurs, si vraiment les collègues de Fermi sont
restés cois devant sa demande visant la présence d’éventuels ET, cela montre
que ces messieurs étaient certainement très calés en physique nucléaire mais
manquaient singulièrement d’imagination ! Des dizaines de solutions ont,
en effet, été proposées à ce paradoxe ;
dont 50 dans le livre de S. Webb (1) : abordons-en quelques-unes ici.
Les solutions se rangent en trois catégories fondées
chacune sur une hypothèse : 1/ les ET sont bien là, n’en déplaise à
l’illustre prix Nobel, découvreur des neutrons lents. 2/ les ET existent mais
ne communiquent pas ! 3/ les ET n’existent pas.
La catégorie 1/ décline 8 possibilités : « ils »
sont là et a/ se cachent dans certaines catégories de la population ( !) ;
b/ se mêlent de nos affaires ; c/ ont été là mais ne le sont plus
aujourd’hui (c’est la thèse des anciens
astronautes) ; d/ ce sont nous les ET ! e/ le scénario du zoo
(voir mon intervention en ces pages en mars 2006) ; f/ le scénario de
l’interdiction ; g/ l’hypothèse du planétarium ; h/ Dieu existe.
Parlons de l’option b/ : c’est celle des ufologues
vieille formule, comme moi. L’un d’eux (certainement pas si vieux que ça), sur
Internet, agacé par cette paradoxomania
subite récente, l’a résumée fort simplement : Pour moi le paradoxe de Fermi n’en est pas un. Où sont les
extraterrestres ? Eh bien ils sont à l’intérieur des ovnis qui se
promènent dans notre ciel. Où est le problème ?
Effectivement, ça se tient dans la mesure où la
terminologie ovni s’adresse à ce qu’on appelait dans le temps les soucoupes volantes pour désigner quelque
chose de plus tangible et plus structuré qu’une lumière passante ou un flash
fulgurant. En vérité, le fait de voir un objet non identifié sur le coup ne signifie
pas qu’il ne devienne un ovi (objet
volant identifié) une fois inventoriées les possibilités de confusion. Or, il
paraît que le pourcentage des ovnis non identifiés demeure le même (15 %) quelque
soit le nombre d’observations que l’on prend et qui fluctue selon les années.
Cette constatation irait à l’encontre de la thèse des vaisseaux spatiaux venus
d’ailleurs pilotés par les ET et indiquerait que le pourcentage résiduel est
essentiellement dû au hasard ?
Ne resteraient donc que les traces d’ovnis pour
accréditer cette solution antiparadoxe :
ce sont les rencontres rapprochées, voire les enlèvements (abductions), les crashes d’engins volants, les ronds dans les
champs (crop circles ou cercles de
culture) et les mutilations animales. S. Webb affirme que nous n’avons pas
besoin des soucoupes volantes pour expliquer ces phénomènes.
D’où sa conclusion : L’hypothèse soucoupe volante peut être l’explication la plus populaire
du paradoxe de Fermi, mais sûrement, il y en a des meilleures.
Voyons donc celles-ci. Et tout spécialement, examinons
les solutions (6) capables d’expliquer l’absence de Grands Frères ou de Maîtres
Supérieurs existant ailleurs mais pas parvenus sur notre planète en ce
début de 21ème siècle, n’en déplaise aux nombreux contactés et
autres kidnappés de l’espace dont, je le répète, le paradoxe de Fermi est une
pure négation du côté physique de leur expérience.
J. D. Bernal (1901-1971). |
Un corollaire à cette alternative à la non présence des
ET sur Terre est qu’ils pourraient être en cours de voyage mais n’ont pas
encore eu le temps d’arriver ! La vitesse de colonisation de l’espace
serait même beaucoup plus lente que la vitesse du vaisseau la permettant. Rome ne s’est pas construite en un jour,
aimait à dire C. Sagan (1934-1996) alors qu’on peut traverser la capitale
italienne à pied en quelques heures. Selon les spécialistes d’une colonisation
galactique par diffusion, celle-ci demanderait en fait plusieurs millions
d’années ! A-t-elle commencé justement d’un point très éloigné de la
Voie Lactée ? Il faudra attendre pour
le savoir.
Une autre solution au Paradoxe de Fermi est la théorie de
la percolation ; d’après elle, le voyage interstellaire serait possible
mais risqué si bien que tous les partants ne seraient pas sûrs d’arriver à bon
port et ceci par un phénomène qu’on peut schématiser par un filet dont les
mailles sont plus ou moins resserrées. Plusieurs arrivages d’ET auraient été
bloqués dans leur approche en tentant de passer là où c’est impossible.
D’autres retenteraient-ils l’aventure ?
Ronald Bracewell (1921-2007). |
Ensuite vient la thèse de la colonisation par des
engins non habités : par des robots, des automatons, capables de se réparer eux-mêmes, voire de se
remplacer. Cette hypothèse plaisait à R. Bracewell et à J. von
Neumann, un autre chercheur de Los Alamos au Nouveau Mexique. Ces
sondes pourraient être toutes petites et de la sorte peu chères mais on n’en a
décelé (et cherché ?) aucune depuis la Terre , à moins qu’elles se mêlent aux essaims
d’étoiles filantes des Perséides et
des Léonides et ainsi périssent dans
ces mini-embrasements que nous regardons comme un spectacle céleste.
John von Neumann(1903-1957). |
Une autre possibilité est ce qu’appelle S. Webb
notre chauvinisme solaire en ce sens
que les ET auraient tant d’autres endroits à explorer plus intéressants que le
nôtre que nous serions de la sorte les laissés-pour-compte et risquerions d’y
rester encore longtemps. Notre soleil n’a, en effet, rien de particulier et
peut-être ont-ils autre chose à faire de plus intelligent que de poser un pied
sur chaque planète pour y ramasser des roches et faire quelques gambades ?
Enfin, ces ET pourraient être ni des voyageurs, ni des
nomades, mais des sédentaires apathiques même pas attirés par le tourisme
spatial. Pas si bête après tout. Malgré cela, on a du mal à imaginer une espèce
de créatures intelligentes, certes paresseuses à rester chez soi, mais manquant
totalement de curiosité pour savoir si elle est seule dans l’univers. Les
hypothèses pour expliquer cet autisme primaire éventuel des ET sont plus
difficiles à appréhender que leur absence physique tant les communications
coûtent moins cher que les voyages à l’échelle d’une galaxie. Pourquoi alors
les ET sont-ils silencieux ?
S. Webb, dans ses 50 solutions au paradoxe de Fermi, en consacre
15 à tenter de justifier ce silence assourdissant ; impossible de toutes
les exposer ici. Elles se groupent autour de quatre concepts : i/ il y a
bien (eu) des signaux qui nous sont parvenus mais nous n’avons pas su les
reconnaître ; j/ nous ne les avons pas reçus faute de moyens et modes
d’écoute adéquats ; k/ l’Univers peut être plus étrange qu’on le pense
interdisant ainsi ces lointains contacts ; enfin, l/ les ET sont trop
différents pour se mettre en communication avec nous ; ils auraient pu
développer des mathématiques inconnues au point que nous ne saurions réaliser
que leurs transmissions sont artificielles.
Dans l’hypothèse i/, il faut voir avec quel anthropomorphisme
les tenants du SETI (Recherche des
intelligences extraterrestres) ont décidé de faire leur tri parmi les émissions
qui nous parviennent du ciel ! Leurs critères d’artificialité sont calqués sur ce que nous ferions en pareil cas.
Au point qu’on se demande même pourquoi on n’attend pas tout simplement que les
signaux reçus se superposent à ceux que nous avons envoyés (voir l’affaire Klee TV). Comme si les extraterrestres
ne pouvaient être que la copie conforme de la créature n°1 du Cosmos = l’Homme !
Un exemple typique est celui du signal reçu le 15 août
1977 par la Grande Oreille
de l’Université de l’Ohio et qui a suscité cette annotation du technicien de
garde : Wow ! Sa durée (37
secondes) et sa non répétition ont amené à le ranger dans les annales de
curiosité du SETI, sa signification
étant ainsi définitivement occultée. De grands experts l’ont attribué à un
signal provenant d’un de nos satellites.
Seules les ondes électromagnétiques ont été retenues
comme support de ce signal sans envisager qu’il puisse être véhiculé par les
ondes gravitationnelles ou par des particules telles que neutrinos ou tachyons,
ces derniers ayant l’avantage de se déplacer plus vite que la lumière. La
fréquence de l’eau choisie (entre 1,42 et 1,64 gigahertz) est aussi une fenêtre
bien étroite pour une question qui a tant d’importance ; elle table sur
l’idée que, sans eau, il n’y a pas de vie mais on sait que l’ammoniac pourrait
constituer un excellent solvant vital. Après plus de 30 ans, on commence à se
demander si notre stratégie d’écoute est bien la bonne !
En j/, les moyens mis en œuvre pour écouter les ET sont
dérisoires. Les radiotélescopes ne sont utilisés que marginalement pour le SETI. Le gouvernement US s’en est
désengagé avec cette formule édifiante qu’il est inutile de financer une
recherche qui s’apparente à celle de l’existence du Père Noël (sic) ! De
même pour les moyens consacrés à l’émission de tels messages qui a d’ailleurs
soulevé la polémique car potentiellement dangereuse quant au retour à l’envoyeur (gare si une
civilisation stérilisatrice de planètes la capte !). Certains prônent le
silence selon l’adage « pour vivre heureux, vivons caché ». Frank
Drake (1930->), pionnier du SETI,
envoya en 1974 en trois minutes un message de seulement 1679 bits de long (une
demi-page de cette revue) et en 1999 on expédia un message de 400 000 bits
plusieurs fois mais il contenait une erreur typographique ! C’est tout. Si
des ET ont capté nos messages, ils ont eu la chance avec eux.
Sommes-nous trop impatients ? Les ET plus sages ont
l’éternité devant eux tandis que notre civilisation voit ses jours comptés :
pollution de la planète, risque de conflagration, etc.
Dans la catégorie k/, S. Webb s’interroge si l’Univers
physique est bien celui que nous croyons ? L’évolution se fait-elle dans
un état non physique style réalité virtuelle ? Y a-t-il un horizon qui
nous échappe ? Il reconnaît que ces suggestions sont difficiles à prendre
au sérieux comme solution au paradoxe de Fermi.
En l/, il envisage une guerre froide à l’échelle du
Cosmos (comme quand Soviétiques et Américains ne se parlaient pas) ou bien, tout
simplement, que les ET ne veulent pas communiquer : leur culture ne serait
pas expansionniste ; effectivement là, ils sont si différents de nous
qu’il vaut mieux qu’ils nous ignorent. Ou alors, sont-ils des superintelligences dont les motifs nous
dépassent ? Ce fut la thèse de l’ufologue français Aimé Michel (1919-1992)
à laquelle semble se ranger progressivement celui qui brigue de le remplacer
aujourd’hui, le sociologue Pierre Lagrange.
Reste l’ultime alternative : les ET n’existent pas !
Nous serions une singularité !
C’est d’ailleurs par cette outrance que le physicien
d’origine italienne voulait provoquer ses collègues de Los Alamos ouverts à
l’idée de Fontenelle de la pluralité des mondes habités ; formulons-la en
ces termes : si les extraterrestres ne débarquent pas sur Terre, c’est
peut-être qu’ils n’existent pas ? En d’autres mots nous serions seuls dans
l’Univers, du moins en tant qu’êtres pensants capables communiquer avec d’autres,
voire de les visiter. Seuls donc, bien condamnés à n’avoir jamais le moindre
contact avec des créatures étrangères
à notre petite planète bleue.
C’est une alternative extrême maintes fois discutée ;
examinons la dans les possibilités débattues par S. Webb (il en propose 18 !).
Inutile d’y chercher quelques relents religieux, voire xénophobes, car
l’auteur, physicien britannique, se place sur un plan purement scientifique. Ce
qui ne l’empêche pas d’envisager l’idée que l’Univers puisse être là uniquement
pour nous ; c’est ce qui est connu sous le nom de principe anthropique voulant voir les conditions du cosmos
uniquement destinées à favoriser notre séjour sur Terre. Cette alternative
confortable flatte l’ego de ceux qui aiment à voir dans l’Homme une espèce élue ; ne nous y attardons pas.
Moins narcissique, la thèse selon laquelle la vie
pourrait avoir émergé seulement récemment ; ainsi les éventuels
extraterrestres seraient si peu en avance sur nous qu’ils n’auraient pas encore
eu le temps de voyager plus loin que leur propre banlieue (la Lune , pour nous). Au pire,
nous serions les premiers !
Ensuite viennent les variations autour de la rareté des
planètes telles que la Terre
dans le cosmos. Aux dernières nouvelles, le compteur des exoplanètes
découvertes (planètes hors système solaire) est arrêté sur le chiffre 263 mais,
à une exception près, toutes sont du type Jupiter : grosses (318 fois la Terre ), gazeuses avec un
tout petit noyau rocheux enfouis sous une épaisse carapace d’hydrogène liquide :
des conditions bien peu clémentes pour abriter une vie à base de carbone que
seul S. Webb s’autorise à envisager. Or, si seulement de grosses planètes
gazeuses ont été repérées, c’est parce que le mode de détection en l’état actuel
est bien incapable (mesure de la baisse de luminosité quand la planète
s’interpose entre l’étoile et nous) d’en localiser de plus petites et plus
denses rocheuses. Systèmes solaires,
zones habitables seraient aussi des conditions simultanées indispensables alors
que rien n’en indique l’abondance. De même, la Terre aurait pu adopter récemment une orbite lui
permettant de passer à travers les régiments d’astéroïdes à cause d’un
phénomène de résonance qui lui évite des collisions catastrophiques, état normal
d’une grande dangerosité naturelle cosmique. D’où notre sort plus enviable que
celui des dinosaures ! Lune et plaques tectoniques seraient, qui sait ?,
des conditions uniques. La vie
pourrait être aussi quelque chose de miraculeux
dont les ingrédients conditionnant l’apparition seraient extrêmement rares
(pour créer une protéine (albumine) par hasard, il y a une chance sur 1 suivi
de 584 zéros) ! Alors ne parlons pas de microbes ayant évolué jusqu’à se
servir d’outils, capables d’intelligence, de langage et de progrès
technologique !
L’auteur en termine par le constat qu’il est peut-être
trop tôt pour nous interroger sur une question si pauvre en données, trop
tributaire de la psychologie individuelle : optimiste (Drake : un
million de races d’ET au moins égaux à nous) ou pessimiste « à la Jacques Monod » (nous
sommes seuls).
Pour en terminer avec le Paradoxe de Fermi, je voudrais
signaler que ce physicien, en 1950, en essayant de coller ses interlocuteurs de
Los Alamos, ne faisait que soulever une question posée 30 ans plus tôt par un
Américain, certes non détenteur d’un prix Nobel, mais qui, déjà, en avait donné
SA solution.
Dans son ouvrage : Le Livre des Damnés paru en 1919, Charles Hoyt Fort se
demandait sans ambages à propos des extraterrestres : - pourquoi ne se montrent-ils pas ouvertement
à nous ?
Charles Hoyt Fort
(1874-1932)
Et de donner une réponse simple et immédiatement acceptable à un paradoxe non encore
sanctifié par la Science :
éduquerions-nous, civiliserions-nous, si
nous le pouvions, des cochons, des oies et des vaches ? Serions-nous
avisés d’établir des relations diplomatiques avec la poule qui fonctionne pour
nous, satisfaite de son sens absolu de l’achèvement ?
Fort pensait que des visites
subreptices avaient été rendues à notre planète, tout récemment encore, et
qu’il en avait résulté une dispute entre les voyageurs ; à présent quelqu’un possède la Terre et en a éloigné tous
les colons. Une solution avant l’heure à un paradoxe qui, de fait, perd
beaucoup de son statut en raison de la foule de solutions qui lui ont été
données.
Référence :
1/ Where is
Everybody ?, par Stephen Webb, Copernicus, New York, 2002, qu’on
aimerait voir traduit en français.
* Voilà
que j’apprends dernièrement que Fermi n’aurait jamais tenu un tel propos !
Publié
dans UFOMANIA
Magazine n° 54 de janvier-mars 2008.
Sommes-nous trop impatients ?
RépondreSupprimerLes ET plus sages ont l’éternité devant eux tandis que notre civilisation voit ses jours comptés : pollution de la planète, risque de conflagration, etc.
Cher Michel,
Leurs présence dans nos cieux en 1952-54 au-dessus de Washington, le fameux "carousel de Washington" était un pied de nez à l'administration américaine comme quoi ont vous observe depuis très longtemps.. vous êtes au berceau de la grande civilisation cosmique et vous avez découvert comment fabriqué et joué avec les allumettes.. entre-temps le contacté George Adamski rencontre un vénusien venu de Vénus avec un message d'espoirs à la grande famille humaine mais un avertissement aux leaders de la planète terre d'arrêter les explosions nucléaires.. malheureusement les enfants = nos politiciens scientifiques et militaires n'en font qu'à leur tête.. puis le 18 décembre 1960 le révérend contacté Frank E. Stranges fait la rencontre d'un vénusien nommé Valiant Thor dans un bureau du Pentagone. Valiant est devenu V.I.P pour une durée de 36 mois. Un film et un documentaire indépendant verra le jour par le réalisateur Craig Campobasso souhaitons-le. Stranger At The Pentagon inspiré du livre publié en 1967 par le révérend F.E.Stranges.
Puis il y a eu la fameuse vague d'ovnis (sphères de lumières) des centaines parti de "l'Antarctique" jusqu'en territoire mexicain en 2004.
2016 une bien drôle d'année..
Rencontres des plus grands dignitaires et politiciens à Barichole en Argentine puis une visite en "Antarctique"
Merci pour votre commentaire, Metatron,
SupprimerAlors la rencontre de G. Adamski avec un Vénusien dans les années 1950 serait toujours d'actualité, du moins dans le message qui fut échangé entre eux.
Et que pensez-vous de la mystérieuse empreinte de pied (voir http://articles.lescahiers.net/?z=i4992)? Cordialement.
MG